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Le contrat passé entre Microsoft et le ministère de la Défense pour l’équipement de son parc de machine, révélé par l'émission Cas
Via Internet libre
Les sciences sociales ont en général un biais positif en faveur de l’administration, qui est pour beaucoup synonyme d’efficacité et de modernité. Ainsi, c’est devenu un lieu commun de décrire la modernisation de l’État, après Max Weber, comme un processus de rationalisation. Unifier le centre de décision et ses différents services d’application en un seul corps régi par des procédures précises et la hiérarchie semble garantir à la fois la production et l’efficacité des décisions prises.
Seulement, ce préjugé en faveur de l’administration comme procès de rationalisation est contesté 1, et la science économique récente lui a même adressé une critique forte en proposant de décentraliser et d’introduire la concurrence institutionnelle dans la gestion des biens publics.
fin de lutter contre le blanchiment d’argent et l’évasion fiscale, le gouvernement vient d’annoncer l’ouverture, au 30 juin prochain, d’un registre public des trusts – un peu sur le modèle du registre du commerce et des sociétés. Il pourrait toutefois ne pas toujours être très facile de profiter de cet outil de transparence visant (pour l'instant) 16 000 entités.
Le projet de loi pour une République numérique franchit les étapes vers sa présentation devant les députés. A la suite du Conseil d'Etat puis, ce matin, du Conseil des ministres, l'Assemblée nationale va maintenant l'examiner. Il sera discuté en séance plénière à partir du 19 janvier 2016.
Un décret paru le 22 septembre dans le Journal officiel, complété par un arrêté, réorganise le Secrétariat général de modernisation de l’action publique (SGMAP), notamment par la création d’une direction interministérielle du numérique. Explications avec CIO Online.
Face à l’accélération du monde, comment penser le monde de demain et poser des limites ? Quels sont les contre-pouvoirs dans cette civilisation numérique qui réinvente les relations entre gouvernés et gouvernants ? En amont de la table ronde sur le thème « Civilisation numérique : quels contre-pouvoirs ? », organisée dans le cadre du Monde Festival et animée par Laure Belot, Le Monde publie une série d’interviews afin de nourrir le débat. Pour Isabelle Falque-Pierrotin, présidente de la Commission nationale informatique et libertés (CNIL), il faut repenser le rôle de l’Etat pour retrouver des marges de manœuvre.
a commission d’accès aux documents administratifs est une autorité bien pratique pour les citoyens, et notamment les journalistes. Elle permet d’avoir connaissance des documents qui tapissent les tiroirs des administrations, mais qui intéressent pourtant bon nombre d’administrés. L’un d’eux a tenté l’expérience avec une cible bien originale : le code source des logiciels utilisés par les autorités publiques.
Dans le cadre de la simplification des démarches administratives, également synonymes d'économies, le Gouvernement autorisera désormais l'achat de timbres dématérialisés pour s'acquitter des droits de délivrance d'un passeport.
L'administration aura désormais l'obligation de prendre à sa charge les frais de mise à disposition des jeux de données contenant les publications officielles françaises. Mais Matignon ne va pas jusqu'à généraliser l'Open Data sur ces données.
Après le naufrage du système Louvois l’Etat s’apprête à saborder le projet d’Opérateur national de paie. Plusieurs années de travail, des dizaines de collaborateurs, des centaines de millions d’euros n’auront servi à rien : la paie des fonctionnaires va continuer d’être gérée dans des systèmes d’information ministériels, isolés les uns des autres, qui reflètent en réalité la diversité des corps et des carrières dans toutes les parties de l’administration de l’Etat.
Via Frédéric Gasnier, sophie point
Alors que Matignon a présenté il y a plusieurs semaines différentes mesures en faveur de la modernisation de l’action publique (sur l'Open Data, la mutualisation au sein des systèmes d’information de l’État, l'e-administration,...), PC INpact a pu interroger Jacques Sauret, l’ancien président de l'Agence pour le développement de l'administration électronique (ADAE). Et pour cause : l’intéressé a travaillé pendant plusieurs mois sur la rédaction d'un rapport à ce sujet pour la fondation Terra Nova, traditionnellement située sur la gauche de l’échiquier politique.
La collecte de données statistiques est quelque chose d’important pour de nombreux sites web qui tirent un revenu direct de leur fréquentation, en vendant de l’espace pour de la publicité ou en monétisant les contenus. Obtenir des statistiques fines, en temps réel, sur un site à fort trafic, c’est couteux en terme de ressources. Aussi, nombreux sont les sites qui font confiance à un tiers qui traitera de manière externe ces statistiques au lieu de venir massacrer une pauvre base de données SQL en comptant chaque clic en temps réel.
Le gouvernement a dévoilé, hier, une série de mesures de simplification et de modernisation de l’État, qui doivent faciliter les démarches administratives.
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La France a été désignée par les Nations Unies en 2014 comme le pays le plus avancé en Europe et le 4eme dans le monde en matière d’ « e-gouvernement ».
Fort de ce constat, la France s’est engagée à travers son plan d’action national dans le cadre du Partenariat pour un Gouvernement Ouvert à mieux interagir avec l’usager et améliorer les services publics grâce à l’administration numérique (engagement numéro 18).
Cet engagement se traduit par le renforcement de la mesure de satisfaction des services publics numériques et la transparence des données, la prise en compte des retours des usagers ainsi que l’association des parties prenantes à la conception et à l’évolution des services.
Dans ce contexte, le SIG publie ce jour les audiences quotidiennes des principaux sites web gouvernementaux sur la plateforme data.gouv.fr dans un format ouvert.
Le gouvernement lance un site internet très complet et bien pensé, qui fait office de guichet d'unique d'informations et de démarches administratives pour les victimes de terrorisme.
Amendé par le Sénat, le projet de loi République numérique multiplie les dérogations à l'ouverture et la réutilisation des données publiques.
Après les impôts (DGFiP), l'agrégateur d'identité de l'e-administration, France Connect, reconnaît le nouveau service Loggin de La Poste.
Au coeur du futur « Etat Plate-Forme », l'e-administration harmonisée de l'Etat français, le service d'identité France Connect joue un rôle prépondérant. En effet, c'est ce système qui va permettre aux usagers de se faire reconnaître d'un e-service à un autre. Mais France Connect ne fournit pas directement une identité numérique, il agrège les identités fournies par des services tiers agréés.
France Connect, le système d’authentification et d’identification unique pour les démarches administratives en ligne, commence tout juste à être déployé, rapporte le secrétariat général pour la modernisation de l’action publique (SGMAP) sur son site dédié à l’Etat plateforme.
Ne boudons pas notre plaisir : le « plan d’action national pour une action publique transparente et collaborative », présenté par le président le 16 juillet, contient parmi ses plus de 200 mesures individuelles, plusieurs engagements très positifs, même si beaucoup d’entre eux étaient déjà actés ou dans les tuyaux législatifs. On trouve ainsi notamment une plus grande transparence des collectivités territoriales (publication systématique des délibérations des comptes-rendus des conseils municipaux, meilleure publication de leurs comptes…), des plans d’ouverture de données (permis de construire, marchés publics ou aide publique au développement), la formation des agents publics aux bonnes pratiques Open Data, le lancement d’un « FixMyStreet » national, une plus grande transparence financière des entreprises, ou encore l’implication des citoyens dans la mise en œuvre de ce plan via des outils collaboratifs libres. La publication simultanée par l’Assemblée nationale d’un plan similaire relatif au Parlement (annonçant la suite de son programme Open Data, déjà bien engagé, et de futures initiatives prometteuses de collaborations avec les citoyens) est également un signe positif et encourageant de bon dialogue institutionnel.
Bercy a ouvert le service en ligne qui permet aux administrés d'acheter des timbres fiscaux dématérialisés à joindre aux dossiers de demandes de délivrance d'un passeport.
L'unification de l'identité des administrés est en marche. Le secrétaire d'Etat Thierry Mandon a insisté sur l'importance du projet.
Le secrétaire d'Etat à la réforme de l'Etat, Thierry Mandon, s'est rendu dans les locaux des équipes de France Connect le 2 octobre 2014. Cette visite souligne l'importance accordée par le gouvernement à ce projet dans la démarche d'optimisation en cours du fonctionnement des administrations. Déjà présenté mi-septembre par Jacques Marzin (DISIC), France Connect sera un fédérateur d'identité commun à tous les services en ligne des administrations.
Lors de la Conférence de Paris, le 24 avril dernier, Marylise Lebranchu, qui était jusqu'au mini-remaniement d'hier, ministre de la réforme de l’Etat, a confirmé que la France rejoignait le Partenariat pour un gouvernement ouvert. La France devient ainsi le 64e pays à s'engager à promouvoir un gouvernement plus transparent et plus participatif. Elle devra présenter un plan d'action national avant le 31 mars 2015.
Car avant même de révéler secrets d'Etats ou secrets diplomatiques, sans doute faudrait-il rendre accessible des informations qui sont censées être publiques. Et qui peuvent être utiles à l'action publique et aux citoyens.
Quels outils mettre en place pour ouvrir ses pratiques de gouvernement ? Faut-il publier et rendre accessibles toutes les données publiques ? Comment impliquer plus largement les citoyens dans les processus de décision ?
Quels sont les enjeux démocratiques et diplomatiques de cette démarche ?
Via Bruno MECHIN
La ministre déléguée chargée des PME, de l’Innovation et de l’Économie numérique estime que le développement de l’e-administration peut contribuer à réduire la dépense publique. Fleur Pellerin prône un plan ambitieux de formation des agents publics aux usages du numérique et réaffirme la volonté du gouvernement d’ouvrir largement les données publiques.
75 % des Français veulent plus de démarches en ligne. Les personnes interrogées plébiscitent les formalités en ligne liées à l`état civil, selon un baromètre de l`innovation réalisé par BVA pour le Syntec numérique.
Pour économiser en frais postaux, la commission des finances du Sénat aimerait que l'administration puisse notifier les amendes par e-mail. Mais il n'existe pas actuellement de fichier d'adresses e-mail associées aux plaques d'immatriculation des véhicules.
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